POURQUOI LES ARTS MARTIAUX COMME OUTIL EDUCATIF
La pratique martiale permet de créer un lien, un échange et une liberté d’expression. Cela permet aux partenaires rencontrés de sortir de leurs zones de confort, de se dépasser, de ne plus se mentir et d’être face à soi-même.
La pratique des arts martiaux, implique de nombreux bienfaits comme le respect de l’autre, de l’empathie grâce à l’effort ; ils sont vraiment un vecteur de développement personnel : le pratiquant apprend à découvrir ses propres marques, ses propres limites ; son rapport à l’autre. Ca lui inculque également du courage, du contrôle de soi et exigence de justice ; il devient peu à peu membre d’un groupe qui partage les mêmes valeurs. Mais au-delà de la pratique à proprement parlé, son rapport à la société toute entière, s’en trouve modifié positivement.
THE PEACH PACK
L’éducation est un moyen de donner aux enfants comme aux adultes la possibilité de devenir participants actifs de la transformation des sociétés dans lesquelles ils vivent.
The Peach Pack est un projet né de la collaboration de notre couple qui vise à décrire et analyser les différentes manières d’utiliser les arts martiaux à travers le monde pour améliorer les champs d’intervention dans le développement positif de la personnalité.
Pour débuter ce projet, nous avons commencé par faire un tour du monde en famille pour montrer que la pratique des arts martiaux enseignés de manière éducative fait partie des alternatives de santé publique pour l’éducation dans le monde.
Depuis, le but de notre projet vise à sensibiliser les travailleurs sociaux, les professionnels de la santé et particuliers sur les vertus éducatives, thérapeutiques et de restructuration sociale de la pratique martiale. Et ce, peu importe le lieu, la classe sociale ou la culture.
Actuellement, nous travaillons en collaboration avec différentes institutions ayant des objectifs spécifiques comme : les platanes, Caritas international, des projets de l’aide à la jeunesse, des institutions dans le milieu de la psychiatrie, l’IRSA,…
DANS LA PRESSE
